Les causes de la solitude des femmes russes sont très variées : outre les causes strictement démographiques (veuvage), on peut recenser des causes sociales, économiques, historiques, technologiques et idéologiques.

- En partie à cause de l’allongement de la durée des études, les jeunes femmes russes quittent de plus en plus tardivement le domicile familial (cocooning), et lorsque les femmes russes partent, elles ont tendance à vivre plus souvent seuls.
- La désertion des campagnes en Russie (surtout l’exode féminin) a isolé ceux et celles qui continuent d’y vivre, en limitant leurs possibilités de rencontres.
- Les effets « pervers »: les femmes russes qui ont aujourd’hui la quarantaine, avec la maîtrise de la contraception, ont souvent sacrifié une possible vie de couple sur l’autel de leur réussite sociale et professionnelle. À la fin de la trentaine, poussées par l’horloge biologique, ces femmes russes sont en proie à un désir d’enfant et se mettent en quête du père possible.

De récentes études sociologiques sur le rapport entre la mortalité masculine locale, les mœurs et le célibat prépondérant des femmes Russes mettent en évidence un état de fait : la femme Russe souffre de célibat chronique.

Tout d’abord, un chiffre frappant, 43% des hommes Russes mettraient sérieusement leur vie en danger avec l’alcool. Selon l’équipe du Pr. David Leon de Londres sur des hommes âgés de 25 à 54 ans habitant dans une ville industrielle typique de l’Oural, Ijevsk, 43% d’entre eux meurent à cause de l’alcool et d’une mauvaise alimentation, qui couplée à l’abus d’alcool fort, n’arrange rien au problème.

Hormis la vodka, d’autres liquides pas destinés à être ingérés sont consommés régulièrement :

* eau de Cologne,
* produits de nettoyage,
* ou médicaux.

Les femmes Russes, déjà victimes du « veuvage » ou de la désertification masculine à cause de la guerre (Tchétchénie…) se retrouvent donc souvent seules, sans homme à marier, ou tout simplement à séduire…

Triste constat pour ces jeunes femmes Russes, qui en plus de ne pas trouver l’âme sœur, perdent souvent leur papa assez jeune : la Russie souffre d’une espérance de vie exceptionnellement basse pour un pays industrialisé :

* 59 ans pour les hommes russes,
* 72 ans pour les femmes russes !

A Moscou, Minsk ou Kiev, les jeunes et jolies femmes Russes s’inscrivent dans l’agence matrimoniale française Eurochallenges.com (Qui compte 15 agences en France), car une véritable chasse à l’homme est ouverte : Il y a dans certaines régions environ un homme pour six femmes…

Cela ressemble à un rêve pour vous Messieurs, vu d’ici, mais ce phénomène est sérieux et pose un véritable problème dans beaucoup de villes et villages Russes.

J’ai rencontré Tatiana le 23 août de cette même année, et ce jour là, mon destin a basculé. J’ai été tout de suite séduit par son regard franc et ses yeux magnifiques. Je ne saurais dire pourquoi mais j’ai senti que c’était “”Elle”", celle que j’attendais depuis si longtemps. Je pense qu’il serait inutile de vous dire que je venais de vivre un véritable coup de foudre, c’est pourtant ce qu’il s’est passé, et cela donne des ailes…
Je suis retourné en Ukraine à Noël comme prévu. Elle m’a présenté à ses parents, des gens très attachants et simples qui m’ont fait découvrir la chaleur des familles ukrainiennes. J’ai également un merveilleux souvenir de la façon dont les ukrainiens font la fête. Il y a toujours beaucoup de chaleur malgré le froid de l’hiver. J’ai passé deux semaines à Poltava, elles ont filé à toute allure!
En février il faisait très froid quand je suis arrivé à Poltava, mais l’idée de passer à nouveau deux semaines avec Tatiana me rendait fou de bonheur. Ce voyage a été très important pour nous deux car je lui ai demandé sa main et elle a accepté sans une hésitation. Je lui ai promis de tout faire pour que ce rêve devienne réalité.

Le 18 juillet, Tatiana foulait pour la première fois le sol de France, je suis allé la chercher à Roissy car je l’avais invitée dans mon petit village Seine et Marnais pour quinze jours. Quinze jours de paradis ! J’étais vraiment très heureux mais en même temps angoissé car j’avais peur que Tatiana ne se plaise pas dans mon pays ou dans ma maison. Elle, aussi, avait peur d’être déçue mais elle m’a rapidement rassuré. Tout lui plaisait : mes enfants, ma famille (très nombreuse), mes amis, ma maison, mon chien, la campagne… Au bout d’une semaine, elle ne voulait déjà plus retourner en Ukraine !

Nous nous sommes mariés le 21 janvier de cette année dans mon petit village. Depuis, Tatiana est retournée en Ukraine pour obtenir la validation de notre union et elle me manque déjà beaucoup. Ce sont les moments les plus difficiles, ceux de la séparation mais je sais que très bientôt, nous serons unis pour la vie.

Je remercie Eurochallenges qui nous a permis de nous rencontrer et sans qui cette belle histoire d’amour n’aurait pas été vécue.

D’ailleurs, en tapant sur les moteurs de recherche, on trouve plus souvent des clichés d’elle en sous-vêtements que ses créations.  Bien évidemment, le porte-parole du gouvernement a souligné que cette décision était totalement motivée par la qualité du travail de la photographe en question. Mais il est vrai que l’on peut en douter.

Il va falloir attendre encore un peu pour voir ses premiers clichés et se faire une idée plus précise de l’étendue de son talent. Pour patienter, voici déjà quelques prises de vues d’Iana à l’époque où magnifique femme russe posait encore devant l’objectif. Aucun doute : on comprend pourquoi Poutine s’est laissé convaincre. Si en plus elle sait prendre des photos !

Nous vivons maintenant en France. Alena est arrivée le 11 février, trois mois exactement après notre union officielle, comme si cela était fait exprès !
Aujourd’hui nous vivons un bonheur au quotidien ! Le mélange de cultures et de mode de vie sont vraiment très enrichissants. Nous apprenons à nous découvrir de jour en jour. Ma petite femme biélorusse est vraiment très épanouie ici, toute ma famille et mes amis l’ont bien accueillie et l’apprécient énormément ! Sa qualité la plus flagrante est la franchise, nous n’avons pas peur de nous dire tout ce que nous pensons afin de mieux se comprendre l’un et l’autre.

De même, j’apprécie énormément toute sa famille, je les considère maintenant comme ma propre famille malgré la barrière de la langue. Ce sont des gens de bonne éducation et avec un grand savoir vivre !

Je n’aurais jamais cru en m’inscrivant sur ce site 2 ans en arrière, réussir à rencontrer un bonheur aussi grand et faire la connaissance de gens aussi formidables. Cette expérience m’a fait grandir et m’a appris tant de choses sur la vie et sur moi-même ! J’ai compris qu’en s’en donnant les moyens et en y croyant jusqu’au bout, on pouvait réaliser de grands projets dans la vie !

Suite à mon inscription, j’ai écrit à quelques femmes mais sans vraie conviction, celles-ci ne correspondant pas exactement à ce que je recherchais. Puis Oksana de Dniepropetrovsk, qui correspondait entièrement à ma recherche, s’est inscrite… Dès que j’ai eu accès à ses coordonnées, nous avons eu quelques échanges par mail pendant quelques semaines. Tout nous reliait !
Au bout de 2 mois, j’ai profité de son anniversaire pour lui faire parvenir un bouquet de roses, qu’elle a adoré ! Peu de temps après, je lui ai proposé de lui rendre visite, ce qu’elle a accepté avec beaucoup d’enthousiasme !

Nous nous sommes retrouvés sur le quai de la gare avec Hélène, agent d’Eurochallenges qui servait d’interprète. Je suis resté une vingtaine de jours, puis j’y suis retourné trois fois avant qu’Oksana vienne passer un mois en France, avec visite de Paris (incontournable), baignade à Lacanau, visite de Barcelone et bien entendu de mon Périgord. Oksana a fait la connaissance de mes filles ainsi que de mon entourage. Tout lui convenait. Suite à cela, nous avons décidé de nous marier. La célébration a eu lieu le 25 septembre.

Peu de temps après mon inscription, nos profils se sont croisés à travers le web. Le coup de foudre fut mutuel entre nous avec des qualités que nous recherchions tous les deux.

Notre correspondance via internet et le téléphone se transformèrent rapidement en une première rencontre très attendue. Une nouvelle dimension venait de naître entre nous. Et le passage du virtuel au réel se concrétisa au mois de Juillet. J’entrepris mon premier voyage à Moscou pour rencontrer Inna.
Ce premier voyage fut rempli d’émotions, avec des liens qui se sont renforcés. La présentation de sa famille ainsi que la découverte mutuelle nous projetèrent dans l’union de nos vies.

Au mois de novembre, je retournai en Russie pour célébrer nos anniversaires avec un séjour romantique et inoubliable à Saint-Petersbourg.
Le 15 février, lors d’un dîner croisière sur le fleuve Moscwa, Inna accepta ma demande en mariage. Six mois plus tard, nous organisions notre mariage prévu pour le mois d’août.

En arrivant dans notre lieu de rendez-vous, je me rendis compte que j’étais le premier. Je pris un café pour attendre. Quand Maria arriva au café, quelle grâce, elle me bouleversa de sa beauté et de sa simplicité. Nous passâmes tout le reste de la journée ensemble. Cette première rencontre nous à beaucoup apporté tant bien en émotion que dans le début d’une complicité.

Après plusieurs rendez-vous et des milliers d’heures de communications téléphoniques, Maria me proposa de partir en Russie chez sa famille, dans la magnifique ville de Moscou. Oh quel bonheur, un accueil princier, une visite de Moscou dans les meilleures conditions, une belle-famille adorable, j’ai eu un séjour merveilleux. Après une période de vie commune, nous avons pris la décision de nous marier. Un mariage civil en France avec tous nos amis et notre famille, mais le plus beau mariage fut notre mariage religieux à Moscou.

Notre amour et notre bonheur ne pouvaient être comblés que par l’arrivée du plus beau cadeau que Maria pouvait me faire, ce présent étant notre fils. Après une merveilleuse expérience de notre mariage à Moscou, il était très clair et sans réflexions de faire un baptême à Moscou. Comme le bonheur n’arrive jamais seul, nous attendons notre deuxième fils. Bien sûr, son baptême se déroulera aussi à Moscou.